Archive pour janvier 2011

Les fractales dans la nature, introduction


Le travail fait par Mandelbrot ne s’arrête pas a une
découverte purement mathématiques et théorique. Son travail sur les
fractales est beaucoup plus complexe et s’adresse a des disciplines
diverses et variés tel que les domaine de la finance et des sciences
naturelles. Sa nouvelle théorie a autant apportée aux mathématiques
qu’a la compréhension de phénomènes naturels et climatiques et à la perception des structure végétales. l’appartenance de certaines structures
biologique a l’univers fractal n’est pas seulement interressant et
fortuit, mais constitue surtout une avancée fabuleuse pour l’univers des
sciences, car nous allons pouvoir desormais comprendre, modeliser
et etudier plus profondement des objets qui n’entraient pas dans le
domaine cartesien qui etait jusqu’alors le seul ensemble auquel nous avions recours. la géométrie fractale, avec ses propriétés et ses spécificités, nous
aide donc à avancer dans des domaines jusqu’alors incompris ou
inexplorés comme tel. comprendre aujourd’hui que certaines plantes
ont une structure autossimilaire permet d’etablir une
modelisation de celles ci sans microscope ou moyens techologique
souvent pas assez puissant ou simplement tres onereux. Il existe
différentes fractales dans la nature, c’est le cas du chou-fleur,
du chou Romanesco, des fougères, des racines, de la forme des
feuilles, des vaisseaux sanguins, ou encore de la structure des
nuages et même de la taille de la cote de Grande-Bretagne. la liste
d’objets fractale presents dans la nature etant trop longue, je me
permet d’ajouter ci-là quelques derniers exemples majeurs, les
galaxies et autres dimensions intergalaxiques, les amas
galactiques, la taille des cratères sur la Lune et Mars,les
montagnes, la forme des arbres ou encore celle des
coraux. L’étude présentée par Mandelbrot va permettre selon
les cas, de déterminer par exemple la quantité d’émission d’O2
émise par jour dans une forêt. Afin de déterminer cette quantité
selon un principe fractale, il suffit de mesurer la quantité émise
par un échantillon et de le traduire à l’échelle de la forêt. Les
résultats obtenus sont très proche de la quantité réelle et sont
satisfaisant afin de faire des études et de présenter des chiffres.
Tout de même, il parait nécessaire de préciser que le therme
« fractale » ne peut être pleinement employés dans la
nature, du fait que la nature n’a une structure auto similaire que
jusqu’aux limites du moléculaire, tandis que la fractale proprement
dite, au sens mathématique du therme, ne s’arrête qu’a
l’infini.